14 Septembre 2020
Chez Waintraub, activiste et propagandiste, salariée du Figaro, omniprésente dans les médias, tout n'est que haine : haine du Gilet jaune, haine du syndicaliste CGT, haine de Mélenchon, haine du Musulman et des Français issus de l'immigration, haine des militants anti-racistes, haine des féministes lorsqu'elles s'en prennent aux Puissants, haine de la critique du maintien de l'ordre policier...
Cette Waintraub qui se cache derrière une carte de presse qui, entre ses mains, est une véritable insulte au métier de journaliste ( on pensera à tous ceux qui, jour après jour, perdent leur vie pour ce sacerdoce qu'est cette profession) est la caricature même de l'abonné-moyen du Figaro, et ce jusqu'à la gerbe ; entre bêtise et asservissement abject.
Elle nous apporte aussi, et surtout, la confirmation que seul le racisme, seule une haine des classes populaires mobilisées et de leurs soutiens ouvrent la voie aux carrières médiatiques et politiques.
Tout bien considéré, Judith Waintraub ne pense pas : elle obéit et dégurgite ce qu'une culture de classe dominante n'a de cesse d'asséner à leurs porte-parole arrivistes, le plus souvent issus de milieux modestes, y compris intellectuellement.
Il n'y a donc rien à sauver chez ce gnome du journalisme.