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Le meilleur de Serge ULESKI : société, politique, art et culture

Etre au monde, oui ! Mais sûrement pas de Ce monde ! Plus de 18 années d’édition de billets de blog sur 20-minutes, Médiapart et Nouvelobs, aujourd'hui sur Overblog... Durant toutes ces années, sachez que tout ce qui est beau, rare, difficile et courageux ne m’aura pas été étranger ; d'où le choix de mes catégories et des sujets traités. Bonne découverte à tous !

Françoise Degoin face à Rony Brauman, le dernier Juste

          Ce billet à propos de Françoise Degoin fait suite à son face-à-face avec Rony Brauman ICI 

         

 

 

 

 

 

 

 

Rony Brauman… sans doute le dernier Juste en ce qui concerne la France, le seul ; en cela, il faut reconnaître qu’il sauve bon nombre de nos compatriotes juifs aujourd’hui indissociables de cet Etat étranger qu’est Israël… assimilation volontaire... et ce à notre plus grand regret au pays de Victor Hugo, de Bergson, de Jean Jaurès, de Jankélévitch, de Jean Moulin, de Claude Lévi-Strauss, Aimé Césaire et de combien d’autres... !

Mais... foin des bocks et de la limonade... concentrons-nous sur le sujet de ce billet. 

 

***

 

 

 

 

 

 

Née à Tarbes... un temps journaliste à France Inter, Françoise Degoin  a trainé avec des politiciens principalement de seconde zone situés à gauche… - une gauche le plus souvent bancale - en tant que conseillère en communication musclée, un rien châtiée dans la forme, parfois sur le fond ; aujourd'hui, vous la trouverez à faire le tour des popotes de médias "grande gueule" - sud-radio, RMC - à débattre sans fin, sans but, bruyamment ; Le MédiaTV proche de LFI... occupé à singer les chaînes en continu ( et c’est une déception), privé d’imagination et d’ambition… l'a aussi recrutée (au côté d'un dénommé Mathieu Slama qui aurait toute sa place comme chroniqueur sur BFM - seconde déception... ça commence à faire beaucoup !).

Ce qui retient notre attention à son sujet, c'est Degois "la groupie d'Israël"... groupie comme c'est guère permis de l’être par les temps qui courent à toute allure... et alors que l'on sera bien en peine de trouver une raison, une seule qui nous permettrait de comprendre l'engouement de Françoise Degoin pour un pays dont rien a priori ne semble la relier (dans le cas contraire merci de nous en tenir informés car pour notre part, nous n'avons rien trouvé) : ni son histoire, ni sa religion (pour peu qu’elle en est une). Et personne pour s'en étonner, personne pour questionner son enthousiasme à propos d'Israël et le fait qu'elle supporte très mal toute critique à l'égard de la politique de ce pays.

Ensemble, on y a tous réfléchi donc... longuement, faute de piste sur laquelle nous lancer... et puis, soudain un chemin, une voie s'est ouverte et offerte à nous ; une lumière est apparue au bout du tunnel ; on est enfin sortis de l’impasse, du cul de sac, d'une incompréhension embarrassante... parce qu'il le fallait bien ; personne ne pouvait, ne peut pas rester... comme ça... sans réponse face à cette énigme d'une dimension peu commune.

Rappelons que certains d'entre nous appartiennent encore à une culture (plus qu'à une civilisation) qui exige de comprendre... de chercher... de trouver... qui ne tolère pas de ne pas pouvoir cerner l'autre, de ne pas pouvoir l'entourer de toute son attention, de le "calculer" comme disent nos compatriotes de la jeune génération. 

Aussi...

D'aucuns qui, manifestement, ne souhaitaient pas en faire tout un fromage... nous ont demandé de cesser de nous tracasser ; très vite, ils nous ont conseillés de "suivre l'argent" ; comprenez  : il serait question de répondre aux questionnements suivants : comment Françoise Degoin gagne-t-elle sa vie ? De qui dépend sa capacité à pouvoir faire face aux charges de la vie courante qui sont les siennes ? De qui et de quoi ?

Pour reformuler : si l'on consulte la colonne "crédit" de son ou ses comptes en banque, les sommes qui y figurent ont quelles origines ? 

Certes, ce questionnement... "de base" dirons-nous, demeure en toutes circonstances plus que pertinents puisqu'il explique trop souvent les motivations qui se cachent derrière les prises de positions, les opinions, les lâchetés, leur affichage... par les uns et par les autres... principalement en politique et dans les carrières médiatiques (les intervenants de C-News qui, majoritairement, n'ont pas de métier et dont les CV font trois lignes... illustrent sans doute comme jamais auparavant cette réalité navrante)...

En d'autres termes, si le Qatar finance le Hamas, l'Iran le Hezbollah, la communauté européenne les Palestiniens... tous les salariés et quelques patrons... les caisses de retraites, l'Etat... le CAC40, les Grands Moulins de Paris en blé les boulangers...

Qui finance(nt) Françoise Degoin ?  Qui donc ? 

------------------------ ?

Inutile de faire durer un suspense qui ne connaîtra aucun dénouement faute d'expertise car, finalement,... nous n'avons pas désiré nous attarder sur ce fameux "d'où Françoise Degoin parle" lorsqu'elle fait du bruit avec sa bouche car d'autres parmi nous, nous ont demandé de prendre en considération ce qui suit et de nous en persuader ; considérations bien plus riches en enseignements de toutes sortes, faut bien dire... 

Jugez plutôt !

 

*** 

 

Il se pourrait bien que Françoise Degois soit fascinée par la puissance, et Israël l’incarne à merveille ( contraindre, soumettre) par sa capacité de nuisance exceptionnel, son impunité aussi ( en effet, aucune loi, aucune condamnation ne parviennent à l'atteindre... ce pays dont la société ne connaît manifestement ni la culpabilité ni la honte ; une société privée de sur-moi dira-t-on)...

Très certainement fascinée aussi Degois par l'influence d'Israël, ici chez nous, en France, par sa capacité à exiger et à obtenir de tout un chacun soit qu'il se taise à son sujet soit qu'il abonde dans le sens de ces nombreux porte-voix et drapeaux, à titre individuel ou bien sous la forme d'association : CRIF, UEJF, LDJ, LICRA, ses médias et ses relais sans nombre.

Car, après un certain temps, une évidence s'est imposée à nous : Françoise Degois est une femme ; or, comme chacun sait, les femmes privées de pouvoir aiment les hommes qui en jouissent et qui en ont à revendre...

Mais c'est bien sûr ! C'est donc ça ! La clef est là : Degoin va au plus fort, au plus puissant, au plus érectile,  au plus saillant, au mieux, au plus "monté" haut perché sur son char, là-haut, tout là-haut, à celui qui se dresse et bombe le torse, détonant, au centre du cratère, maintenant rayonnant.

Nietzschéenne Degoin, pour sûr !

Vous voulez lui plaire (ne faites pas la fine bouche ; il est dit que tous les goûts sont dans la nature)... soyez le maître des lieux ! Celui qui mène la danse et qui fait danser - le jerk de préférence - à la tête de l'orchestre : Glenn Miller et son "Chattanooga choo choo".

Donc femme... Françoise Degois ; c'est entendu ; et à ce sujet, une autre révélation nous a comme frappés de plein fouet ; la gifle, le coup de poing : en effet, face à la fascination de Françoise Degoin à propos d’Israël, sa puissance, son impunité, on ne peut pas ne pas penser à ces visiteuses de prison, souvent désoeuvrées, esseulées, à la vie ingrate, sans souffle... et en particulier, ces visiteuses de prison attirées exclusivement par les tueurs en série ( les femmes sont les premières lectrices des biographies de ces tueurs)... hommes condamnés pour féminicides en veux-tu en voilà !

Nul doute, des femmes attirées par la formidable puissance du mal qui habite ces êtres en rupture ; fascinés ces visiteuses de prison qui choisissent ( … prennent pour cibles) ces tueurs qu'elles peuvent désormais côtoyer, approcher de près, observer, visite après visite, des mois durant, des années durant ; ce mal que l’on peut toucher, renifler... pensez donc ! Ce mal... l'odeur de sa transpiration, le parfum de son après-rasage, son regard aussi que l’on peut scruter et dans lequel ces femmes visiteuses de prison doivent sans doute chercher une lueur particulière, une lueur noire mais incandescente (un peu à la Soulage ?) telle des charbons... celle des victimes le visage hurlant  ; suppliciées de ces tueurs maintenant inoffensifs tels des lions domestiqués, gavés de barbituriques, comme anesthésiés, abrutis… sans les barreaux d’une cage puisque ces visites ont lieu autour d’un table, en face à face, une machine à café à proximité ( préparez votre monnaie car il est dit que la machine ne la rend pas cette monnaie ; un peu à l'image de la machine carcérale !) ; face-à- face, oeil pour oeil, dent pour dent... c’est sans doute là que réside tout l’intérêt de leurs visites pour toutes ces "visiteuses du soir" entre deux échanges épistolaires car les tueurs en série sont d’un bavard… ils en ont des choses à dire… un paquet ! Aussi, ce n’est pas rien cette promiscuité quand on se remémore les crimes qui ont été et demeurent à jamais les leurs.

Elles si faibles face à cette force dévastatrice sur les corps, les chairs... ces femmes visiteuses de prison dominées sans doute par une flopée de passions tristes, une enfance chaotique, l'absence du père ou bien son omniprésence brutale et vexatoire... comme un retour vers ce qui a été, vers ce qui fut et demeure à jamais... traumatisme oblige, espoir cathartique aussi...

Fascinées elles sont par la poigne, la main qui contraint, soumet, immobilise, étrangle, brise les os : ça crie... ça hurle, ça résiste, ça gigote, ça cède puis ça meurt. De tout ça, après de longs mois d'enquête, on n'en découvre et n’en retrouve qu'un corps martyrisé, charcuté, démembré, maintenant muet, éteint... dans un sac poubelle de grande taille, déposé quelque part dans un bois ; nouvelle décharge chez les joggers du dimanche qui n'en reviendront pas pour y être allés allègres et insouciants...

Courir, courir, à fonds perdus - une fortune en cumul ; il est passé par ici, il repassera par là !

Chouettes hulottes hululant, haut perchées... - la nuit en rêve sans doute se pensent-t-elles aussi un peu loup-garou -, ces femmes visiteuses de prison franchissent parfois le pas à notre grand étonnement dans un premier temps… et dans un second… notre révulsion : elles les épousent ces tueurs condamnés à perpétuité car le diagnostic à leur sujet est tombé : ils ne peuvent et ne pourront pas et jamais s'empêcher.

Oui, elles en font leurs conjoints, figurez-vous ! Parloir conjugal, parloir intime, de la table, deux chaises... on passe au plumard : frottement, enchevêtrement, fusion... mise en coupe réglée aussi... l'extase enfin ! Néanmoins... sous la vigilance d'un gardien, d'une gardienne ( le métier de maton n'a pas que des inconvénients semble-t-il : on peut s'y rincer l'oeil... des deux yeux qui plus est !) car... qui sait ce qu'on ne saura jamais puisque l'opportunité ne sera pas offerte à la société de tester le bien-fondé des analyses psychiatriques dont ils sont l'objet tous ces tueurs, tous ces interrupteurs de lumière, celle de la vie, courant coupé, compteur Linky à l'arrêt...

Sans doute n'y a-t-il pas de petites économies et puis... crise énergétique oblige ! Vous refusez de prendre en compte cette crise présent et à venir ? D'autres, bénévoles, s'en chargent.

On n'oubliera pas non plus les diagnostics d'un optimisme extravagant : "Il est guéri... bien guéri. Hourra !" Aussi, peut-il rejoindre la communauté de destin qui s'impose avec force à nous tous... - en particulier celui de ses prochaines victimes ?

Oups !

Dans ce contexte... au petit jour... "It's hurts to say goodbye", c'est sûr !

Rappelons au passage cette vérité : ce qu'on est, on l'est très tôt une fois que la foudre vous a frappé, bien avant de le devenir en acte... ce qui explique la raison pour laquelle on ne peut pas ne plus l'être une fois le Rubicon franchi ; aucun retour possible même à gué pendant la saison sèche.

On oublie trop souvent ceci : ce qui nous vous tue pas fait aussi de vous un "monstre" (même si les monstres ça n'existe pas soit dit en passant ; il n'y a que des causes et des effets). Pour s'en convaincre, il suffit de se pencher sur l'enfance de tous ces tueurs en série, qui sont aussi les nôtres quelque part : la dissociation n'est plus de mise depuis que nous sommes tous non pas capables mais déjà... coupables du pire.  

 

***

 

             Mais...

             Foin des tueurs en série et des beaux soirs en toute saison... revenons à Françoise Degoin : s'est-elle un jour seulement interrogée à propos de sa passion pour Israël ? Ses motivations, le comment, le pourquoi et puis le pourquoi faire et le pour faire quoi aussi… et alors que… encore une fois, nous n’avons pas trouvé de lien qui expliquerait son engouement.

Franchement, elle ferait bien quand même ; et si elle le devait... ne se sentirait-elle pas... comment dire... comme plus légère, comme débarrassée d'un poids, d'une surcharge ? Et quand on connaît les risques de cette surcharge pour la santé et physique et mentale...

Vraiment… pensez donc simplement à l’accélérateur  de l’arthrose… morale s’entend dans le cas qui nous occupe, qu’est toute surcharge : et c'est alors que la pensée peine à se mouvoir... jusqu'au moment où elle s'affaisse, s'agenouille puis s'allonge, se couche... perdue pour la raison et la morale.

 

___________________

 

P.S. Françoise Degoin peut sans hésiter demander un droit de réponse mais poliment si possible ; ce qui lui permettra de nous apporter des réponses à ce questionnement qui est le nôtre.

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