1 Novembre 2024
Procureure, elle était sans pitié avec les classes populaires délinquantes : avec Kamala Harris, les pauvres n'avaient qu'à bien se tenir ! Elle refusait toute révision de procès de ceux qui attendent dans les couloirs de la mort... leur mort prochaine ; garce, il est dit qu'elle a toujours préféré un innocent sur une chaise électrique qu'un coupable libre de vaquer à ses occupations criminelles.
Soutien d'Israël... affichant A la fois sourire colgate d'une niaiserie peu commune et sourire carnassier... chez Kamala Harris tout est faux d'autant plus qu'elle se situe à la droite de la droite des Démocrates. On l'aura compris : "Plus blanche qu'elle... tu meurs !" Tout comme Obama, cette candidate est sans l'ombre d'un doute du côté de la domination et de la maltraitance humaine ; d'où sa réussite car il faut rappeler qu'aux USA... un militant Afro-américain (métis ou pas) n'a jamais eu comme destin la Maison Blanche mais bien plutôt la morgue : Martin Luther King, Malcolm X.
Si élue, elle se condamne à n'être que la marionnette de l'Etat profond étasunien qui pilote la politique étrangère des USA... et certainement pas la maîtresse d'ouvrage.
Sous prétexte de chercher à nous rassurer à propos du soupçon de racisme qui leur colle à la peau... ne laissons aucun média nous désinformer à son sujet car impitoyables avec les faibles, aux ordres face aux puissants... cette Kamala Harris, les médias vont l'adorer, c'est sûr !... de France Culture à BFM-TV.
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Trump... depuis 20 ans, fait l'unanimité contre lui dans tous les médias français ; en effet, pas un seul commentaire positif à son sujet ; ce qui doit nous interroger.
Si la présidente d'un Bush junior, d'un Clinton ou d'un Obama nous est d'un enseignement quelconque... la conclusion suivante devra-t-elle s'imposer quant à la motivation de ces médias à savoir : durant sa présidente, il est bon de noter que Trump n'a "cassé la gueule" à aucun pays musulman du proche et moyen-Orient ; durant ces quatre années à la Maison Blanche... des millions de Musulmans n'ont pas été soufflés et réduits en poussière par les bombes estampillées "In God we trust" de l'Oncle Sam ni jetés sur les routes d'une région maintenant en ruine : direction l'Europe... dernier refuge des survivants.
Eh oui ! La question se pose bel et bien. Car enfin... quelle autre question alors ?
Avant hier le Liban, hier l'Afghanistan, l'Irak, la Syrie, la Libye ; aujourd'hui Gaza et le Liban à nouveau ; seconde couche car la première (années 70) n'y suffit pas manifestement : le Libanais bouge encore... surtout s'il est musulman.
Qu'à cela ne tienne...
Gros bourrin héritier, homme du passé... Trump qui souhaite retrouver le modèle économique d'une Amérique qui a fait la fortune de ses ascendants - the Trump Dynasty - , n'est manifestement pas au RDV sur aucun défi ; en particulier, ceux qui concernent le devenir de notre environnement planétaire ; certes, cette partie de l'électorat de Trump composée d'Américains relégués ou bien menacés de l'être - Américains condamnés "à la caravane et au mobile home" pour tout domicile - mérite que l'on s'attarde un instant à son sujet... car si l'on prête qu'aux riches, jamais les pauvres n'ont autant eu à coeur les intérêts menacés d'un milliardaire pour s'être s'identifiés à ce milliardaire un peu chagrin... à cet homme d'une obsolescence programmée tout comme le gros électroménager du même nom et autres machines appelées à nous laisser choir tôt ou tard : business oblige !
Une première en Occident cette compassion pour celui dont la fortune repose inévitablement sur la spoliation et l'injustice des conditions d'existence des êtres humains. Pour sûr !
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Kamala Harris... aussi creuse qu'un coquillage privé de son locataire... (avec Harris, proche de notre oreille... il est dit que l'on y entend tout sauf la mer) ; un Trump gros bourrin pas malin...
Ca promet ! car nous aurons tous quelque chose à craindre des USA...
Les USA n’ont plus besoin de l’Europe comme allié moins encore comme fournisseur et jamais plus comme challenger dans les domaines géopolitique (coopération avec la Russie), technologique et commercial… mais plutôt une Europe de consommateurs ahuris et dépendants jusqu’à devoir tout accepter : sa propre terminaison en tant que puissance un temps porteuse d’une alternative à une hégémonie qui a pour mode fonctionnement le chantage et les bombes car les USA n’accepteront jamais de partager le monde avec qui que ce soit ; dans l’obligation de le faire, ils préféreront le détruire.
Les Etats-Unis nous veulent du mal. Soyez-en assurés.
Pour prolonger, cliquez : Trump, un rebelle sans cause ?