Il était une fois Yoann Usai

            Salarié des médias de Bolloré… groupie de Mylène Farmer - il nous l’a confié (avoué ?) récemment - … on se doutait bien qu’il y avait chez lui comme quelque chose de juvénile à l’origine duquel l’on trouvera sans doute une sortie de l’adolescence mal négociée… comme inachevée, «laissée en plan »… dirons-nous.

Bulldozer monomaniaque… Yoann Usai a pour bête noire LFI sur laquelle ses accusations d’antisémitisme et d’islamo-gauchisme ne cessent de pleuvoir (le CRIF et l’UEJF avec sa jeunesse désoeuvrée qui a pour béquille existentielle et ontologique et comme emploi du temps... la défense d’Israël…n’ont plus qu’à bien se tenir)…

Aussi sec qu’un coup de règle sur les doigts, le menton haut, rigide, droit comme une justice expéditive propre aux comparutions aussi immédiates que jeanfoutre… une fois que ce Yoann Usai s’est exprimé… c’est un silence interrogateur qui semble alors s’imposer… le temps pour son auditoire de s’en remettre comme on se remet d’une expérience aussi rare qu’étonnante… oui, devoir s’en remettre un rien perplexe quant à la nécessité d’une telle sortie car tous ont pris froid… froid dans le dos aussi d'autant plus que ce Usai ne leur a pas laissé le temps de se couvrir !  Car ce Yoann Usai, c’est un couperet… et là, c’est Guillotin qui n’a plus qu’à se faire oublier… sa lame n’est plus assez tranchante d'avoir sans doute déjà trop servi : la lame Usai l’a précédé de loin… de très loin.

S’il n’ y a qu’un enfant pour croire que toute vérité sortira fatalement de sa bouche et les adultes de l’y encourager ou non, c’est selon… car cet enfant ne sait pas encore que toute vérité jugée bonne à dire est trop souvent un mensonge qui en contente plus d’un… et c’est sans doute la raison pour laquelle l’on ne compte plus aujourd’hui les juges qui menacent de faire évacuer la salle à la moindre manifestation d'une vérité et sans doute aussi la raison pour laquelle celui qui s'y colle à cette vérité décidément haïssable, finit toujours là où finissent ceux qui ne sont plus présent au monde pour demander justice et réparation… en revanche, Yoann Usai est  bien vivant "alive and kicking" (c'est vous dire à quel point il ment)... bien de ce monde il est… celui de C-News en particulier qui ne sait plus comment contenter le lobby israélien, les syndicats de police affiliés au RN qui n’est que l’agence de com d’un FN intact, le parti du même nom par la même occasion ainsi qu'un catholicisme de la schlague qui a conduit des générations entières à changer de trottoir dès la vue d’une soutane, d'une chasuble, la colère au ventre....et la larme à l'oeil car…

Il y a deux sortes de traumatisme : celui qui touche à la psyché et celui qui touche à l’arrière-train... lequel arrive toujours à l'heure... tôt ou tard, dans la sacristie, là où niche l'Antéchrist : « Bien dans ton cul gamin-gamine ! ».  

              Yoann Usai, né en Auvergne, c’est la province du centre d'une France qui n’a de centre que sa périphérie éloignée jusqu’à la perdre de vue et qui souhaite nous le faire oublier parce que… Paris et les studios des médias Bolloré, ç’a une autre allure sans doute…

Oui mais… laquelle ? - "That is the question !"

A propos de son patronyme Usai, il est dit qu’il signifie « né sous un bon astre, chanceux ».  C’est sûr… il le porte bien quand on sait les risques de poursuites pour propos diffamatoires et calomnieux dans une course aussi folle que brève de sprinter… que ses prises de paroles impliquent ; propos tellement plus lourds, grands et vastes que celui qui les porte sans discernement non pas du haut de son courage mais du bas d’une prétention pathétique d’une incompétence hargneuse.

Mylène Farmer dont il est dit qu’elle serait une « belle personne »… n’a elle aucune prétention. On pourra s’en féliciter et on lui pardonnera bien volontiers nombre des chorégraphies d’une naïveté aussi touchante que risible qui accompagnent ses prestations scéniques. En effet, ne dit-on pas : «Il est à l’intelligence ce que les chorégraphies de Mylène Farmer sont à la danse : sa négation »

Comme quoi, il n’y a pas plus dommageable pour un artiste populaire que sa groupie.