Une France coulée de boue, déclin des médias, recrutement dans les médias, Gabrielle Cluzel, Pascal Praud, salariés Bolloré, Cnews les recensent tous,

Cette France qui trouve auprès des salariés des médias Bolloré (et leurs annexes : Figaro, Causeur, Sud-radio et une centaine de Web-TV néo-fascistes) l'écho de sa propre voix, si on l'a toujours soupçonnée cette France - le cinéma engagé des années 70 l'a bien des fois évoquée (Boisset et Cayatte) - pour autant, on ne la redoutait guère car on la pensait condamnée à une marginalité certaine. Eh bien.. aujourd'hui, c'est en pleine gueule qu'on se la prend cette France en écho : et l'on n'y reconnaît plus rien; en particulier, pas une ligne de la France de Montesquieu, Diderot, Hugo, Jaurès, Bernanos, de Jean Moulin et sans doute celle du plus pertinent d'entre eux à l'heure de GAZA qu'est Aimé Césaire, et ce jusque dans les médias dits « soucieux d'une information d'une complexité qui interroge contexte et causes » comme par capillarité et contamination : balayée cette France par une coulée de boue... bataillon de mercenaires, d'hommes et de femmes trentenaires sous la tutelle de sexagénaires dont l'heure de gloire est arrivée.

Ramassis de recalés de l'excellence... telle une remontée d'égout - odeur fétide, gaz toxique (sulfure) aux effets paralysants tous en soutien au massacre de masse des Gazaouis parce que... arabes et musulmans, avec un aplomb d'une arrogance et d'une radicalité d'excréments et d'urine de la morale, du droit, de toute idée de justice des conditions d'existence des êtres humains, si l'on peut se consoler avec le fait que cette France-là et sa police jamais ne poseront leurs fesses dans le fauteuil de l'Elysée- toute les gauches y veilleront en 2027 qui verra très certainement s'affronter au Second tour une droite néo-libérale contre une droite néo-fasciste, ayons la lucidité de reconnaître qu'il y aura de cette France dans tous les gouvernements à venir : les Ciotti, Retailleau, Darmanin, Wauquier, Estrosi, A. Bergé, G. Larcher, V. Pécresse y sont prêts avec le concours d'une société civile qui a pour têtes d'affiche un Enthoven, un fils Klarsfeld, un Onfray, accompagnés de pauvres hères revanchards; et vous savez quoi !

Certains d'entre eux vous jureront que jamais ils ne seront de cette France-là et alors qu'ils en ont déjà visité l'antichambre dans leur soutien à Israël, la mesure suprême pour une sanction du même nom; mesure du courage des uns et de la lâcheté des autres.

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Médias : audience déclinante.

La performance (toute relative) des médias Bolloré a pour origine un contenu qui peut se résumer de la manière suivante : « Y'en a marre des Arabes, des Musulmans, de Mélenchon et des députés LFI! » - français ou non ; titulaires de papiers ou pas. Médias défouloirs, médias brutaux et sans nuances, Médiamétrie évalue le pic de leur audience à un million de
téléspectateurs et auditeurs ; à ce sujet, gardons à l'esprit que la France compte 47 millions de nos compatriotes qui ont l'âge de raison, à savoir : dix-huit ans et plus. Loin derrière, on trouvera BFM, France-Info et LCI qui se partagent non pas la part du lion mais bien plutôt celle des diptères et autres larves.

Le problème est le suivant : Internet qui est « toute la mémoire du monde » - notons au passage que le meilleur des médias dits dominants n'arrive pas au talon du meilleur de cet Internet - a laminé les audiences télés depuis vingt ans. Or, ceux de nos compatriotes qui placent le questionnement suivant « qui fait quoi, à qui, où, comment, pour-quoi et pour le compte de qui ? » au centre de leurs préoccupations n'y trouvant pas leur compte, reste à ces médias peau de chagrin, médias croupion - seuls ceux que rien n'intéresse vraiment - audience comateuse après 21 heures - une fois rentrés après avoir fait l'expérience, à l'aller et au retour, d'embouteillages formateurs côtés soumission et dévirilisation mentale des masses capacité à s'affirmer et à dire « Non ! Assez c'est assez! » - dans le cadre de métiers dont la nature et les conditions de travail exténuantes physiquement et/ou mentalement font d'eux tous des zombis d'une conscience citoyenne soucieuse de comprendre « pourquoi ce qui est... semble devoir le demeurer à jamais ».
 

Brutalité néo-fasciste assumée chez les uns; chez les autres... tous adeptes de pseudo-analyses qui ne sont que du « commentaire de gestion de carrière », ainsi vont et font ces médias-marionnettes appelés à péricliter année après année. Et c'est Internet et ses millions d'Internautes soucieux de connaître et de comprendre, dévoués à cette tâche, qui alors triomphent.

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Indolence, soumission, incompétence... au fil des ans, ont été nommés dans les médias, des « personnalités et caractères » recrutés à la suite de critères soigneusement établis (« recrutement stratège ») qui ont évincé
tous ceux qui étaient susceptibles de remettre en cause dans une sorte de « souci de l'intérêt général » une ligne éditoriale, des instructions s'y rapportant, jugées dommageables ; tous ces « évincés » ne sont plus en
position de se faire une place dans les rédactions des médias dits «mainstream » ; là où s'informent la vaste majorité de nos concitoyens. D'où... en réaction... cette effervescence sur Internet - diversité, expertise et pertinence - autour de l'idée de « ré-information » ou de « contre- information».
 

De France Culture à CNEWS des choix identiques ont été effectués quant au recrutement : origine sociale, personnalité, caractère, formation; tous plus ou moins interchangeables; chacun dans son « environnement éditorial », on trouvera les mêmes réflexes, le même verrouillage mental quant à l'absence de capacité d'analyse et de remise en cause de quoi que ce soit qui soit lié à son environnement professionnel ((il ne s'agit pas de soumission, le sujet étant incapable de « penser soumission ou rébellion »), même s'il faut bien toutefois tenir compte de la préoccupation suivante : ce qui sécurise un emploi et une carrière et ce qui les fragilise; grandeur et servitude du salariat.
 

Pascal Praud dans ses œuvres : « Je salue le fait que Vincent Bolloré m'accorde une entière liberté d'expression. Jamais il n'intervient. » Pascal Praud, l'homme-sandwich (vecteur d'abondantes recettes publicitaires), a simplement oublié que Bolloré n'avait pas à le faire car son salarié Praud pense comme son patron Bolloré : manifestement, Pascal Praud (l'homme absent à lui-même) ne sait toujours pas qu'il a été recruté pour cette raison.

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Standing et carrières, les médias d'Etat et privés n'ont pas pour salariés des journalistes mais des individus qui n'ont qu'un souci ce qui sécurise leur emploi et ce qui le fragilise ; sont aussi concernés... tous les intervenants extérieurs, consultants dits « experts » ; ces derniers en particulier ne sont le plus souvent que dans du « commentaire de gestion de carrière » car tous sont dans des logiques de postes qu'ils convoitent ici et ailleurs... recrutements, nominations imminentes... tous se savent observés.
 

Jamais « nos » médias n'auront entretenu avec cohérence et obstination une telle propagande au service d'un vaste déploiement d'un mensonge par omission systémique : ce qui importe alors, c'est tout ce qui est tu car il en va de la survie de tout ce dont on doit assurer la mort, en priorité celle du questionnement suivant : qui fait quoi, où, à qui, comment, pour-quoi et pour le compte de qui ?... et alors que plus rien ne peut nous être caché à l'heure d'Internet ! Une folie car c'est bien l'assassinat par « les autorités » de ce questionnement qui ne cesse de mettre en péril l'idée même d'une
société dans laquelle ce qui prétend « faire autorité » (confiance qui repose sur la compétence et l'absence de conflit d'intérêt - souci de l'autre) est accepté, choyé et défendu par le plus grand nombre : le mensonge qui a pour socle la lâcheté, la contrainte et la vénalité signent la mort de toute autorité et nourrit une colère dont personne ne peut prédire l'action.
 

Coulées de boue.. remontées d'égouts... hommes et femmes sous influence, volontaires ou contraints, incompétence... tout ce qui est nous est donné à comprendre du mode de fonctionnement des médias dits dominants nous aura été révélé, exposé sans vergogne, sans honte, heure après heure, jour après jour, semaine après semaine comme jamais depuis un certain mois d'octobre 2023... et ce en toute irresponsabilité.

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Omniprésente dans les médias-Bolloré et ses succursales (Sud-radio, le Figaro, Marianne), figure montante d'un néo-fascisme revanchard de toutes les défaites de cette France qui ne s'est jamais remise de 1789, Gabrielle Cluzel (Gabi pour les intimes) a fait ses armes chez « La Manif pour tous » en 2010. Travail, famille, patrie, passionaria d'un catholicisme de la schlague à la sauce Bétharram (en violation d'un Christianisme qui a pour assise la Parole du Christ et aucune autre), Algérie française (thuriféraire des descendants Pieds-noirs pleurnichards qui n'ont toujours pas compris qu'ils avaient non pas perdu mais rendu par la force des armes ce qu'ils avaient volé), soutien indéfectible au Front national et à son agence de com qu'est le RN, aux côtés d'un patronat maltraitant les salariés, groupie jamais rassasiée d'israël (glorification de la violation du droit et de toute idée de justice des conditions d'existence des êtres humains en particulier s'ils sont arabes, musulmans ou députés LFI)... on l'aura compris : maltraitance humaine du sol au plafond et à tous les étages... tout est là, présent ; historiquement, il ne manque rien ni personne.
 

Telle une coulée de boue, une remontée d'égout, cette France qui a mille fois « craché » sa tête dans le panier de Monsieur Guillotin ou bien... fini son périple criminel au bout d'une corde ou bien encore... douze balles dans la peau... de cette France, si l'on n'a jamais cessé de soupçonner son désir de revanche, pour autant, on ne la redoutait guère car on la pensait condamnée à une marginalité certaine. Eh bien.. aujourd'hui, c'est en pleine gueule qu'on se la prend cette France ; et l'on n'y reconnaît pas une seule ligne de Montesquieu, Diderot, Hugo, Jaurès, Bernanos et sans doute du plus pertinent d'entre eux à l'heure de Gaza qu'est Aimé Césaire, et ce jusque dans les médias dits « soucieux d'une information d'une complexité qui interroge contexte et causes » comme par capillarité et contamination : balayée cette France par un bataillon de mercenaires, d'hommes et de femmes trentenaires sous la tutelle de sexagénaires dont l'heure de gloire est arrivée.
 

Mais alors, qui saura à nouveau vaincre une idéologie complice et responsable d'une grande partie des catastrophes humaines du 20 siècle ? Qui donc ?

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Si avec Pascal Praud, animateur vedette de C-News, le café du commerce des années 70 n'est jamais bien loin, grande bouche, dépourvu d'un domaine de compétence ou d'expertise quel qu'il soit, ce Pascal Praud a les certitudes et les colères d'une ignorance toute particulière : cette ignorance consiste à ne rien savoir, jamais, de ce qui le condamnerait à devoir prendre conscience du fait qu'il ne sait et ne savait rien.
 

Servile jusqu'à l'outrage aux bonnes mœurs intellectuelles, de quelles
humiliations ce Pascal Praud peut-il bien avoir été la victime pour s'être rangé sans ambiguïté auprès de ceux qui sont du parti de la maltraitance humaine, la lame aiguisée ?
 

La soumission ou la révolte... à chacun sa résilience. Praud a choisi la
soumission. La révolte lui aurait demandé un courage dont il est dépourvu ; et puis, on n'y fait pas du tout la même carrière... non plus. Alors... ceci explique sans doute cela.
 

Homme sandwich, fort d'une audience qui le place devant ses  concurrents, Pascal Praud c'est un bon « support » pour les publicitaires... mais sait-il seulement que le jour où cette audience chutera, il sera remercié en 48H ? Deux semaines plus tard, tous auront oublié qu'il y a eu un jour un Pascal Praud car, un animateur en cache toujours un autre qui n'aura pas une pensée pour son prédécesseur dont il devra au plus vite faire oublier la figure.

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A propos des salariés des médias-Bolloré et de leurs annexes, force est de constater ce qui suit : dans les années 70, une grande partie d'entre eux auraient été pigistes à raison d'une pige par semaine rémunérée 100 euros ainsi qu'intérimaires chez Auchan pour boucler leurs fins de mois, occupés à remplir les rayons avant l'ouverture de 8H30.

Le plus souvent, ils ne font sens qu'à l'abri de la contradiction, loin de toute altérité. Ils ne comprennent que trop rarement tout ce qui arrive, et en particulier à propos de tout ce qu'ils ne souhaitent pas voir arriver ; ils n'entrevoient la possibilité que d'un seul monde : le leur... verrouillé à double tour. Sous l'emprise à la fois d'une immaturité émotionnelle et intellectuelle, on peut parier qu'ils ne grandiront (concrètement, métaphoriquement et symboliquement) jamais ; de petite taille, à l'image de leur potentiel humain, leur croissance (concrète, métaphorique et symbolique) s'est arrêtée au sortir du lycée (manifestement, aucun diplôme
n'y a rien changé). Plus ils sont dans l'ignorance, plus ils sont sûrs de leur fait. Toujours à la recherche de figures tutélaires - masculines de préférence -, (absence du père ?), férus de "Heroic fantasy", de jeux-vidéo, de bandes dessinées et de films de science et de politique fiction « grand public »... très tôt ils ont été confrontés à un imaginaire stérile car si les arbres ont tous des racines, tous ne donnent pas de fruits pour autant.
 

Aujourd'hui trentenaires, voire quadras, ils sont la manifestation d'une souffrance résignée, un spleen mais sans le génie baudelairien, qui a pour origine l'incapacité au deuil : le monde qu'ils ont souhaité pour eux-mêmes et par ricochet, pour tous les autres, consentants ou pas, ne sera pas : en revanche ce qui sera... aura pour réalité le fait que ce qui est arrivé est arrivé car toutes les conditions ont été réunies pour que cela arrive ; et alors qu'ils seront dans l'ignorance d'un autre fait : tous, sans exception, auront été responsables des conditions qui l'ont permis car les êtres humains sont rarement La solution... plus souvent le problème. Et ce deuil, pour tout idéaliste « socialement dés-affilié », « culturellement lacunaire », est le plus cruel des deuils ; enfants gâtés, maintenant adultes, inconsolables ils sont mais déterminés à nous le faire payer.

Autre signe d'immaturité : le refus du partage de la responsabilité d'assumer un monde aussi « réglé et joué d'avance » qu'imprévisible.

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Agressions, viols... C-News les recense tous.. en particulier.. si un de ces crimes est commis par un patronyme arabo-musulman... et plus encore s'il s'agit d'un OQTF ; il sera aussi question de rendre co-responsables, au passage, Mélenchon et les députés LFI ; enragés, Anne Hidalgo sera aussi leur cible.

On savait qu'il n'y avait rien de digne chez le personnel des médias de Bolloré d'autant plus qu'il y a ceux qui font parler les morts... et puis il y a les crimes que l'on cache derrière ceux des autres : Gaza aujourd'hui; la Palestine entre les mains d'Israël depuis des décennies. Voyez comme des Goldnadel, des Julien Dray, des Manuel Valls, des Aurore Bergé, des
Elisabeth Lévy donnent de la voix en véritables pourfendeurs du droit et de la morale ! On jurerait qu'ils sont coupables tellement ils accusent jusqu'à paraître innocents s'ils l'étaient.

Qu'un Dartigolles, un Philippe Gilbert et un George Fenech (ancien procureur) s'y vautrent chez Bolloré, explique comment la France n'a pas cessé de s'affaisser à force de croire que l'on peut déchoir sans qu'il n'y paraisse rien - comme en lousdé. 

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C-News et la thématique récurrence de l'intégration et de l'assimilation : un C-news voix du RN-FN et de sa police, voix d'un christianisme de la schlag, voix d'Israël - théocratie miliaire de type nationaliste, racialiste, colonialiste et impérialiste; société d'apartheid : une référence absolue chez tous les médias Bolloré et son personnel.

Un C-news anti-syndicaliste, anti-féministe, anti-Musulmans, anti-droits de l'homme, anti-écologiste, distributeur de bons points sur la question de savoir qui est français; la remise des prix patronnée par un A.

Devecchio et G. Lejeune (dans les années 70 ces deux-là auraient été pigistes ; c'est vous dire l'effondrement du niveau !) - et d'autres encore soucieux de s'entendre dire ce que les médias Bolloré souhaitent faire savoir... tellement tous sont assurés d'être de la France.

Or, la question est la suivante : à quelle France appartiennent-ils ? A la pire des France : une France vent debout contre la France de Victor Hugo, de Diderot, de Jean Jaurès, Bernanos, Jean Moulin et Aimé Césaire, au profit d'une France de toutes les « collaborations », France colonialiste ; une France qui, pour en avoir eu besoin, n'a jamais pour autant accepté ces populations issues de son histoire coloniale excepté... invisibles et résignées.