2 Septembre 2019
Macron... ni président, ni chef d'état ! En revanche "Macron agence de com" - esbroufe et faux-semblants ! - entièrement dédiée à l'entretien de sa propre image et de sa crédibilité auprès de l'oligarchie mondiale, certainement ! Car Macron n'a qu'une perspective de carrière... c'est à l'international, bien évidemment.
Aussi, force est de constater que jamais "le politique" n'aura autant abusé d'une "com" pernicieuse basée sur la complaisance et l'ignorance d'un corps électoral qui s'élève à 35% ; un corps composé principalement d'une partie des classes moyennes et de la totalité des classes supérieures qui ont fait sécession ; classes seules garantes du maintien à flot de Macron dans les sondages et de sa ré-élection en 2022 avant son départ pour l'international.
En cela, dans l'exercice quotidien de sa fonction, Macron n'est qu'un agent à plein temps de sa propre promotion. Mais qui s'en étonnera ? Car, il y a bien longtemps que les locataires de l'Elysée sont tout nus : à poil d'impuissance ils sont, eux qui ne présisent qu'à la distribution d'une parole creuse destinée à une audience qui l'est tout autant ; et le dernier à s'en plaindre est assurément le locataire en personne de ce lieu de toutes les mystifications.
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Flics et gendarmes, battez-vous pour de meilleures conditions de travail tout en cessant vos actions le plus souvent illégales sous prétexte qu’un ministre de l’intérieur et un préfet vous les ordonnent ! Débarrassez-vous aussi des voyous, crapules et pervers sadiques qui sévissent dans vos rangs sans oublier vos syndicats dont le bilan de ces 30 dernières années est une véritable insulte à l’histoire syndicale de notre pays !
Quant à compatir avec vous à propos de l’augmentation des suicides dans vos rangs, votre gestion de la crise sociale et politique incarnée par le mouvement Gilets jaunes a été à ce point au-dessous de tout sur un plan moral et déontologique que l’on trouvera difficile, nous tous, de prêter une attention toute particulière à cette augmentation ; obéir aux ordres n’a jamais permis à qui que ce soit de dormir sereinement du sommeil du juste - certains de vos collègues en ont manifestement fait l’amère expérience -, d’autant plus qu’aujourd’hui, quand on croise un flic, on est bien en peine de savoir à qui on a affaire ; comprenez : était-il de ceux qui, comme des milliers de vidéos l’attestent, ont tabassé qui un homme, qui une femme, à dix contre un lors des manifestations des Gilets jaunes ?
Aussi, sachez que notre défiance est maintenant totale ; le soupçon plane sur tous vos effectifs : aujourd’hui, quand on croise un flic et ses collègues qui croise-t-on réellement, quel être humain humainement, moralement et socialement parlant ?
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130 morts au Bataclan, 350 blessés, une attente qui a semblé interminable à propos d'une intervention qui a tardé, trop tardé... c'est sûr, si la BRI est dissoute, on a tous du souci à se faire quant à notre sécurité ! Tenez ! Parlez-en aux familles des victimes dont la plainte pour "non assistance à personne en danger" à propos de l'intervention tardive de ceux qui sont censés nous "sauver"... a été classée - très vite trop vite cette fois-ci ? - sans suite : "Le soir du 13 novembre 2015, il est 21h40 quand les terroristes pénètrent dans le Bataclan. Onze minutes plus tard, les policiers de la BAC arrivent sur place et essuient des tirs de kalachnikov. Les militaires de Sentinelle arrivent. Les policiers qui ont besoin d’armes demandent à la hiérarchie, mais la préfecture de police répond : négatif, vous n’engagez pas les militaires, on n’est pas en zone de guerre"...
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Montebourg Arnaud, la preuve irréfutable - si besoin était - qu'il n'y a pas de carrière politique au plus haut niveau pour quiconque refuse la mondialisation et l'exploitation optimale de "la ressource énergétique et humaine" au mépris de la morale, de la justice et de la qualité de vie de nos descendants.